Alpuisort

Nom: Alpuisort

Age: 22

Espèce: Humain

Métier: Ranger-mage apprentis (mage-guerrier)
Alpuisort sort d’une retraite de plusieurs années n’ayant pour but qu’une formation intellectuel, philosophique, magique et du maniement du combat au bâton (voir histoire) il revient en ville, à la civilisation avec une légère appréhension n’ayant comme seul idée pour le moment : en apprendre d’avantage et transmettre se savoir. Donc la seul idée est érudit et enseignent. A noter qu’il n’hésiterais pas de devenir aventurier pour pousser ses recherches. Son ambition: devenir un mage à part entière, non plus un apprentis et essayer, ainsi, d’avoir le meilleur impact qui lui serait possible d’avoir pour aider autour de lui.


Description physique A son arrivée dans la taverne, Alpuisort et vêtu d‘un long manteau de cuir marron vieillis par le temps et les intempéries. Il porte un pantalon sombre et un haut de la même couleur. Ses petite botte en cuir renforcé s’accorde avec le couleur de son manteau. Il tiens de sa main gauche un long bâton faisant 1 mètre 80, tout comme lui à quelques centimètres près. Ses mains gauche et droite son muni de mitaines en laines noirs. Une assez large ceinture marron serre sa taille , auquel est accrochée diverses bourse plus ou moins remplies ainsi qu’un moyen couteau de chasse à manche en bois sans ornement, dans son fourreau lui aussi en bois usé par le temps. L’impression austère que peut donner ses vêtement contraste avec l’expression de son visage. En effet un léger sourire marquant un légers émerveillement et une curiosité pour toutes chose est accroché à son visage. Ses yeux vert pétillant renforce cette impression de bienveillance. Par contre le fin anneaux de couleur gris métallique entourant sa pupille fait ressortir un fort sérieux et un caractère engagé. Ces dernier trait de caractère sont également souligné par son visage carré qui le durcis légèrement. Ce visage carrée est bien la continuité de son corps tout aussi carré et d’apparence musclée sans pour autant dire qu’il soit un masse de muscle. Enfin il a des cheveux marron foncé , tout ébouriffé. Son corps, surtout ses bras et ses jambes font apparaitre plusieurs légères cicatrices, n‘ont pas dut à une quelconque bataille, mais à sa retraite en foret et à son entrainement.

Description morale Alpuisort est avant tout un homme de cœur. Il croit profondément dans ce qu‘il fait et s‘engage à mettre tout en œuvre pour y parvenir . Non pas qu‘il est une grande confiance en lui , se serait plutôt le contraire, mais c‘est son grand optimisme qui le fait vouloir toujours avancer avec autant d‘acharnement. Cette optimisme ne l‘empêche pas de rester réaliste et raisonnable. Ainsi il n‘est pas un utopiste mais reste tout de même un rêveur. Associant sa grande imagination à une logique assez aiguisée, il essai de réaliser ces rêves. Alpuisort prône pour la sincérité, bien qu‘il sache reconnaitre qu‘il faille parfois caché certaine chose pour en protéger d‘autre, il croit énormément au pouvoir de la parole pour résoudre le conflit, mais n‘hésite pas à passer à l‘action s‘il le faut. Il associe ce pouvoir à celui de la connaissance qui pour lui est source d‘assagissement. Il essai de porter un regard critique sur les chose qui l‘entour mais son avide curiosité rend les chose difficiles et le fait, plus souvent qu‘il ne le faudrait, tomber dans le piège des fausses premières impressions. Son optimisme envers et contre tout le rend d‘humeur joyeuse la plupart du temps même si sa soif de connaissance et son envie continuelle de compréhension le pousse au plus grand sérieux. Il est nourri d‘une joie de vivre qu‘il ne s‘explique pas mais qu‘il bénit très souvent. Cette joie de vive en rend une personne généralement agréable et qui, dans les moment de trop grand «　faux　» sérieux ou dépriment, lui fait jouer d’une certaine ironie se voulant «　détachante　». Il n’est pas du genre à fuir ses responsabilité même s’il n’apprécie pas particulièrement devoir rendre compte à quelqu’un quand cela ne lui semble pas nécessaire.
Alpuisort reste un grand amoureux ! De la nature, du monde qui l’entoure, du savoir et des gens. C’est un ami loyal et fidèle. Il ferait tout pour aider un être qui lui ai proche et tendra toujours la main vers quelqu’un qui en aurait besoin.
Pourtant , comme dit plus haut, il n’a pas une grande confiance en lui, créant souvent un hésitation sur les choix orientant sa vie qu’il aurait à faire. Certain de ses choix, lorsqu’il s’agit d’aider autrui s’impose à lui comme une évidence, tenant plus alors d’un certain instinct. Alpuisort a ses propre démons le nourrissant parfois d’excès bienveillant le déconnectant de la réalité. Ses «　démons　» lui créait de temps à autre des angoisse incontrôlable qui lui font perdre plus ou moins ses moyens.
La fait d’être curieux de tout et de vouloir tout voir, lui accorde une concentration limitée, ce qui ai la principal cause de sa difficulté d’apprentissage à la magie. A cette difficulté s’ajoute celle qu’il ne soit pas d’une grande patience.
Alpuisort n’est pas rancunier, même les déception le ravage et créé en lui la plus grande des tristesses.

Armes : Alpuisort est donc muni d‘un moyen couteau de chasse. Cette arme a, pour lui, toujours était plus utilitaire qu‘offensive ou défensive. Mais s’en servant pour la chasse, il sait bien l‘utiliser. Son autre arme, et de loin la plus importante des deux, est son bâton. Un bâton en bois très résistant et légèrement souple d‘1 mètre 80 qu‘il a taillé lui même. Il y est gravé certaine rune qui lui accorde une résistance accru lui permettent ainsi d‘arrêter la lame d‘une épée et une sensibilité à la magie de son détenteur, pouvant ainsi y répondre s‘il le faut. Le bâton se nourrit de l‘expérience de son bâtonnier et de sa magie. Il peut ainsi parfois être plus utile et/ou puissant de lancer un sort par le biais de l‘arme. Le point fort de cette arme, la sensibilité à la magie, et également son point faible. Car bien qu‘elle puis résister à certain sort d‘elle même ( c’est-à-dire quand elle n‘est pas en possession du mage donc qu‘elle ne peut se nourrir de sa magie) elle peut s‘affaiblir si la magie de son détenteur s‘affaiblit. Il existe une forme de relation entre l‘arme et son détenteur. Alpuisort, pour l'instant, ne connait pourtant pas toute ces propriétées sur son armes. Il sait juste qu'elle peut arréter l'acier et lui permet de ressentir les présences magiques sans plus de précisions. Il ne connait pas les origines de l'armes non plus, l'ayant reçu aprés avoir rendu service à un forestier que son maitre lui avait demander d'aider.
Certaines de ses bourses contiennent des poudres aux vertu médicinal ( poudre de parétiaure associé à du mille-feuille{vertu cicatrisante} et feuille de thym {soins des plaies] et les autres sont vides.

Aptitudes : Alpuisort sait lire et écrire le langage commun et il a le sens de l'orientation.
Pour les aptitudes aux combats, c'est de l'attaque/défense de base, car il n'a pas reçu d'entrainement militaire propre pour devenir un guerrier ou chevalier ... pour le moment.
Il ne controle pas encore sa magie, elle vient à lui lors de moment de grand danger immédiat et de façon plutot incontroler. En effet il ne conait que quelques régles théorique de bases. (voir histoire).

Pouvoir : Devenir un mage puissant mais sachant combattre. Bien sur, pas aussi bien qu’un chevalier ou autre mais bon.. . J’aimerez que mon personnage ai son importance dans la cour, devienne une aide voir peut étre même le confrére de Travignan en passant par étre son apprentit afin de devenir un vrai Mage, non plus un Mage apprentit seulement… Bref avoir un certain poids dans l’histoire en étant un Mage d’action.
Je ne sais pas si c’est bien ce qu’il fallait dire ici…

Autre:

Histoire : Alpuisort s‘accroupit un peu plus sur sa branche. Il retira doucement la main avec laquelle il prenait appuis sur le tronc du conifère. Il prit alors la flèche qu‘il tenait dans sa main droite, qui tenait également son arc, et entreprit de l‘encocher. Il tira lentement sur la corde. Arrivé à la tension voulu, il retins sa respiration, ajusta une dernière fois son tir et lâcha la corde. La flèche siffla légèrement, mais pas assez pour prévenir le sanglier du danger imminent. Elle se ficha directement dans le coup du malheureux sanglier. Connaissant la résistance de ces bêtes Alpuisort sauta rapidement mais souplement sur le sol, accourut vers la créature agonisante, puis sortir son couteau pour l‘égorger rapidement, lui évitant des souffrances inutiles. Alpuisort posa son arc et prit le sanglier sur ses épaules en grimaçant sous l‘effort. Il alla au bord de la petite rivières qui s‘écoulait paisiblement entre les innombrables conifère, prédominant dans cette partit de la foret plus en altitude. Au bord du cours d‘eau, Alpuisort entreprit de vider le sanglier qu‘il venait de chasser. La foret était d‘un calme sage et bienveillant. Il apprécia pleinement ce calme et le soleil qu‘il sentait lui chauffer la peau. Rien ni personne ne censé être sensible au drame de la mort de la créature. Ici tout n‘était que calme et beauté. Du mois c‘est-ce qu‘il pensé. Il n‘aurait jamais cru retrouver un tel calme il y a des années… Alpuisort secoua la tète, chassant les mauvaises pensées qu‘il sentait arriver, et se reconcentra sur sa corvée peu ragoutante. Lorsqu’il eu finit, il se pencha vers le cours d‘eau et y plongea ses mains et avant bras couverte de sang. Il observa la sang se diluer lentement dans l‘eau paisible. Le reflet des sapins, les taches de ciel bleu et de lumières orange du soleil, telles des joyaux somptueux et évanescent, se transformant peu à peu en un rouge plus ou moins flamboyant puis épais, s‘éparpillant dans l‘eau à la façon d‘une fumée malsaine. Les images revinrent, les souvenirs remontères et vinrent griffer l‘âme d‘Alpuisort qui ne put retenir la larme qui coulait à présent le long de sa joue. Il ne l‘avait pas remarquée. Perdu dans un autre temps, il revoyait les scène de l‘horreur incarnée, la Mal en puissance, la nature bestiale et sauvage de l‘humanité…
Les pupilles presque entièrement dilatée, et son ouïe subissant les sons d‘un autre temps, il n‘entendit pas le premier appel. Au deuxième, ce fut comme si un écho ne cadrant pas avec la scène d‘horreur qu‘il subissait retentissait. Un sifflement sonore suivit d‘un troisième appel le tira un peu plus vers la réalité. Ce n‘est que lorsqu‘il se retrouva la tète la première dans l‘eau qu‘il revint totalement sur terre. Il émergea en crachotant et pris pied sur le lit de la rivière peu profonde, couvert de galet. Alor la voix d‘Alméndire retentit au loin, grondant sévèrement.
«-Bon sang de bon sang ! Va falloir que tu m’enlève toutes cette mousse que tu te fourre dans la bidoche le jeune !　Que j‘ai pas à te repousser dans la flotte avec une masse d‘air pour que tu m‘apporte le diner! Tu risquerai bien de rôtir à la place du sanglier avec une bonne vieille masse de feu ! Ramène toi ! Et arrête de rêver !　»
Le vieil homme s’appuyant sur son bâton s’éloigna en grommelant sous le regard rieur d’Alpuisort.
Il sortit de l’eau, prit le sanglier sur les épaules et parti rejoindre son maitre à la grotte.
Tout en marchant Alpuisort se demanda si son maitre se doutait que cela le hantait autant. Il devait bien se doutait qu’Alpuisort en gardait des séquelles mais peut être pas aussi profondes. Alpuisort n’aimait pas en parler, il n’avait donc pas abordé le fait que la vue du sang lui provoquait ses angoisses…
Le choc avait était profond et extrêmement soudain. Autant que ce sanglier ne pensait pas être le repas de ce midi, rien n’avait préparait Alpuisort à ce qui était arrivée il y a des années.
Il était né dans une famille très modeste dans un petit village bordant la foret. Son père, bucheron, était un bon vivant et toujours souriant, du moins dans les souvenirs d’Alpuisort. Sa mère était pour lui la femme la plus douce qui ai existé. Des parents aimants, des condition de vie favorable, le royaumes prospérait et le roi était bon. Mais les changement c’était rapidement fait ressentir. Alpuisort était trop jeune à l’époque pour se rendre compte des événements et de leurs implications. Ses parents, soucieux de voir leurs enfant heureux n’affichaient jamais autre chose que des sourires. Et Alpuisort ne savait alors pas à l’époque faire la différence entre un sourire forcé et sincère. Mais son monde avait basculé… Il sut plus tard que le village ne recevait plus les chariot de vivre provenant de la cité agricole la plus proche comme convenu. Etant un village de bucheron, les habitants ne pouvaient subvenir à leur besoin eux mêmes. Les gens durent se débrouiller pour pouvoir se nourrir eux et leur famille. Les gens commencèrent à chasser, ensemble d’abord, élaborent un partage équitable. Mais la chasse fut vite insuffisante et les gens se séparèrent, chassant de leur coté, se surveillent, se barricadant et enfin se méfiant les uns des autres. Malheureusement le père d’Alpuisort était bon chasseur et leur famille, peu grande, arrivé à s’en sortir. Ce ne fut pas le cas de tout les voisins. Des vols de nourriture commencèrent, la famine était là est les gens était prêt à tout pour survivre, surtout lorsqu’il n’avaient jamais connu de vrai crise de ce genre. La famille d’Alpuisort qui s’en sortait assez bien fut vite prise pour cible, éveillant suspections et mauvaises rumeurs. Pour Alpuisort les plais et bleue de son père n’était , à l’époque, que dut à «　une mauvaise chute en chassant　» que lui avouait son père avant de lui ébouriffer les cheveux gentiment.
Mais les rumeurs se propagèrent et gonflèrent, sans qu’Alpuisort, murer dans sa jeune innocence, ne s’en rende compte….
Ce soir là il était au puits à la lisière du bois sur le coté de la maison. Un groupe d’homme vint frapper chez lui. Son père ouvrit la porte. Alpuisort n’avait pas put entendre ce qui se disait à cause de la distance. Le ton s’élevât un homme frappât son père qui ripostât. Les autres lui sautèrent immédiatement dessus et le rouèrent de coup. Sa mère sortit alors, voulant s’intercepter mais un homme la gifflat et elle tombat au sol. Alors qu’elle se relevait, son père fou de rage avait saisit deux des hommes et les jetta contre le mur de la maison, brisant le crane d’un des deux, qui tomba raide mort. Cette acte de défense légitime réveilla la folie des hommes et donna tout son crédit au rumeur de voleur au sujet de son père. L’un d’eux sortit son couteau et taillada son père. Il tomba au sol mais des hommes le relevèrent avec une ferme conviction; son père n’aurait pas une mort aussi rapide que l’homme qu’il avait tué. Sa mére s’étant relever elle tenta de nouveau de s’intercépter mais un homme la propulsa en arriére. Avant de tomber lourdement, elle marcha sur sa robe et la déchira. Etendu totalement nue, elle réveilla les lubricitée des ces hommes devenu animal par la peur, la faim, la colére. Ils entrepirent alors de la violer… Les deux petites sœur d’Alpuisort en entendant le vacarme sortir alors de la maison et voyant la scéne, hurlèrent en cœur. L’homme qui venait de lancer une torche dans le feu et une autre à la main, donna un coup à l’une de ses sœur avec la torche. Les cheveux plein de paille de la couche de la petite ainsi que sa robe en coton s’embrasérent immédiatement. Ses cris là, jamais alpuisort ne pourrait les oublier. Paniquée son autre sœur était resté figée, Alpuisort était alors sortie de sa torpeur et avait crier à sa sœur de venir vers lui. Elle avait tourner légèrement la tète et quand l’avaient enfin vu, qui lui disait de le rejoindre à renfort de grand cri et mouvement de bras elle s’était mise à courir la plus vite possible vers lui. Des hommes les avaient alors suivis, voulant les arréter. La situation leurs avait échapper, si le village apprenait le meurtre de l’enfant, ils seraient bannis… Un des poursuivant était munis d’un arc et tout en fuyant, sa soeur à ses cotées, les fléches sifflait aux oreilles d‘Alpuisort. Il avait peur pour sa sœur, il aurait tout fait pour qu’ils soient protégés des fléches. Ses priéres furent éxaucées.. C’est à ce moment que son pouvoir s’éveilla. Alors qu’ils prenaient un virage sec pour contourner un arbre mort, Alpuisort avait vu une flèche lui arrivant directement dessus du coin de l‘oeil. Il c’était arrêté net et avait mis toutes sa volonté à dévier les fléches. Son pouvoir se réveilla et il créa son premier bouclier de protection par volontée. La fléche vint pércuter le bouclier à une dizaine de centimètres du visage d’Alpuisort et fut déviée. Il en souffla de soulagement et s’apprêta à repartir lorsqu’il entendit un bruit mat sur sa droite. Il se tourna et l’horreur de la scéne le saisit à la gorge.
Alpuisort venait de tuer sa sœur . La fléche déviée était venu se ficher dans le cou de la petite fille. Un flaque de sang grandissait à vue d’œil au pied d’Alpuisort. Il était tombé à genoux, avait pris sa sœur dans ses bras et avait pleurer comme il ne l’avait jamais fait. Sa tristesse et son horreur n’avait pas de limite. La Mort c’était présentée à lui et il l’avait redirigeée vers sa petite sœur…Celle qu’il aurait du protéger plus que quiconque. Elle était morte par sa faute. Plus rien n’avait compté à ce moment..
Les poursuivant avait fini par le rattraper. Ces hommes était à la base bon et bienveillant. Des amis de la famille pour la plupart. Mais ils étaient devenus méconnaissable , transfiguré par la haine et l’adrénaline. Leur faim c’était transformée en soif de sang. L’être humain devenu la pire créatures de 1000 enfers. Alors qu’il s’appétait à faire disparaitre le dernier témoin de l’horreur à l’état pur, une force énorme vain les propulser contre les arbres alentours. Puis ceux qui c’étaient relevés furent tranché en deux par un lame invisible. Les parties de leur corps tombèrent sur le sol déversant leurs entrailes et autres immondices. Les dernier prirent alors feu alors que d’autre furent frapper par des éclairs si puissant que la plupart des arbres aux alentours se déracinèrent, chutant dans un grincement tragique.
Alpuisort n’avait vu la scéne qu’un travers un épais brouillard de tristesse. Une main chaleureuse c’était alors posée sur son épaule, l’obigeant à regarder son nouvel assassin. Alpuisort avait put reconnaitre Alménde, le vieux fou qui vivait dans la foret. Il sentit, depuis son épaule une douce chaleur l’envahir. Cette chaleur l’enveloppa et il se sentit attiré dans des limbes apaisantes. Il avait était heureux de croire que la mort venait le libérer de sa terrible détresse.
C’est en se réveillent plus tard, dans une grotte, et ne sachant absolument pas où il était qu’Alpuisort sut que ce n’était pas le cas. Le vieux fou était accroupi à cotée de lui. Voyant que la panique commençait à prendre le contrôle d’Alpuisort, le vieil homme l’obligea à boire une décoction qui le calma aussitôt. Avant de se rendormir Alpuisort avant entendus les paroles de son protecteur:
«　- Mon chère petit… Puisort, je te donne en ce moment l’ Al de l’apprentissage et de la connaissance et, aussi triste que cela soit, me vêtit de l’Ire de la protection et de la bienveillance. Moi, maintenant AlméndIre, devient ton maitre et te prend Toi, maintenant AlPuisort, comme apprentis… Au nom de l’AlIre, renait….　»
«　-Allez va ! Pose donc moi ça là, que je commence à retirer ces belle peau !　»
Alpuisort était arrivé devant la grotte. Il fit ce qu’on lui demanda. Il sentit que le regard de son maitre pesait sur lui, il leva alors les yeux vers le vieil homme.
«　-Qu’y A-t-il vieil homme ?　»
«　-Bon sang ! Il t’arrivera des broutilles le jeune ! Tu sais, en société je serait respecté et pourrait me passer de tes impertinences !　»
Alpuisort lui répondit par un grand sourire moqueur et lui répondit.
«　-Hé bien heureusement que l’on ne se trouve pas en société, je peut continuer ces taquinerie que vous aimez tant!　».
Le vieil homme toussa pour se donner une contenance et d’une vois plus sérieuse dit:
«　-Justement parlons en de sociétés…　»
Sous le regard étonnée de son élève, AlméndIre indiqua d’un geste à Alpuisort de s’assoir. Il le fit et AlméndIre se mit en face de lui.
«　-J’ai bien peur, le jeune, être arrivé à la fin de ce que je peut t’apprendre. Je crois qu’il n’est pas bon pour toi, désormais, de rester ici.　»
Alpuisort se leva brusquement.
«　-Non ! Que dite-vous ! Je suis loin d’avoir tout appris! «　
«　-Je n’ai rien d’autre à t’apprendre en magie le jeune. Tu connais toutes la théorie à toi de t’entrainer pour la mettre réellement en pratique.　»
«　-Je devrais m’entrainer ici !　»
«　-Mon pouvoir catalyserais le tiens, il ne se développerais jamais comme il se doit…　»
«　-Bien.. Je .. D’accord ! Ecoutez ! Peut être en magie pensez vous ne plus rien avoir à m’apporter, mais les autres leçon ? L’Histoire ? La Philosophie? La vie en foret? L’orientation? Le soins? Le pistage? Le combat? Et tout le reste !　»
« Alpuisort, souffla le vieil homme qui n’avait jamais paru aussi fatigué, assied toi. Quand ce fut fait , il repris. Cette terrible nuit, quand je t’ai pris avec moi, j’ai jurer de te protéger et d’être bienveillant envers toi. J’ai fait tout en ce sens jusqu’à ce jour. Je t’ai vu reprendre gout à la vie et la chérir plus que quiconque; T’améliorer au-delà de mes espérances. Mais je ne peux plus rien t’apprendre en tout. Seul le vie peux le faire. Il est temps de vivre la tienne. D’apprendre à toi même par toi-même… 　»
Le maitre fit une légère pause et fit mine de se concentrer puis il dit:
«　- Moi AlméndIre, je me dévêtit à ce moment de l’Ire de la protection et de la bienveillance et te donne à jamais l’Al de l’apprentissage et de la connaissance. Moi, maintenant Alménde, ne suis plus ton maitre et t’élève Toi, à jamais AlPuisort, comme Mage apprentis… Au nom de l’Al, soit …　»

Oki merci ! Je commence bien . Heureux d'étre là !

Ca sent la flemmengite aigu lol ! Mais je comprend bien;

Lol c'est ça qui est bon ! Nan et je précise ça c'est juste une présentation; imagine un roman... lol. Je plaisante hein.
Pour le rp je ferais de mon mieux, faut que je suive la cadence . Merci en tout cas.

lol à plaindre carrement ! J'avous ça à dut lui prendre assez de temp et de courage surtout. Mais je suis sur que tu pourras y arriver aussi .

Merci encore Arianka.

Je veux rien dire maix on voit bien le camp des feignasses et des courageux , aprés moi je dit ça.... lol.

Nan mais c'est vrai je pensais regarder la fiche de tout les persos mais , fouwa, ça fait du monde. Donc le postulat " apprendre à connaitre pendant l'histoire" est assz séduisant . Mais selon la motive j'irais voir...MOI (compris les feignasses ).

Oué je suis en pleine recherche Maëlle, t'inquiéte ça va venir. ( joli changement de sujet ...).

Et oui vive les MJ !! Gloire à eux. *Nan ne tente en aucun cas de faire le léche-botte....* .

En tout cas merci à tous pour l'acceuil, c'est cool !

Au mois t'assume, c'est bien .

Nan mais y a pas d'excuse je l'ai vraiment mal pris, ça ma profondemment attristé... Je plaisante, je comprend bien, pas de soucis .

Bien ?! Tu va voir il va étre magnifique ! *J'éspére...*

Pour les groupes celui que j'aimerais bien c'est le groupe : "se moquer des feignasse " .